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Essai Ducati Diavel : Ride on the Street Art !

Mardi dernier, Amandine à eu le plaisir de tester la nouvelle Ducati Diavel pour le blog.

Un événement original organisé par la marque à l'occasion d'une soirée et d'une balade dans les rues de Paris.

Un moment apparemment très convivial et chaleureux ... Elle vous raconte cet instant sympathique.

Une belle entrée en matière

Nous y sommes, aujourd'hui je teste la jolie Ducati Diavel, une marque de moto d'ailleurs inconnue à mon fessier pour le moment. J’arrive vers 18:25 et je suis prise en charge par la belle Alex qui s’est démenée pour que toute cette expérience soit parfaite.

Une grand partie des invités sont présents et je découvre les bijoux de Cadix ! Je n’avais jamais vu autant d’italiennes à un endroit ... Une dizaine de motos sont alignées devant moi.

Je découvre alors pour la première fois son look extra :

Température extérieure 35 degrés , température de mon cerveau 70 degrés, on nous sert généreusement un rafraîchissement (sans alcool hein, oui je vous vois venir ..!) quelques nems aux légumes faits avec Amour par le patron du restaurant « Tù » et c’est parti pour un petit briefing.

L’eau à la bouche

L’heure de nous expliquer les caractéristiques de cette beauté diabolique arrive !

160cv 220kg mais ce n’est pas tout car nous testons la version S.

Full équipée Ohlins, deux coloris au choix, arrêt automatique des clignotants (super pratique ce petit détail), puis les commandes au guidon sont éclairées en rouge pour le bonheur de vos petits yeux.

Elle possède également un shifter monté et descente (quick shifter up and down). Le véritable combo gagnant sur cette moto d’élégance.

j’ai hâte de l’entendre ronronner et de poser mon derrière sur cette selle immense qui m’a tout l’air d’un fauteuil .

Aucune clé à insérer , c’est un démarrage sans clé, pratique pour la mettre dans la poche et ne jamais se la faire arracher au vol lors d’un feu rouge !

Trois modes sont disponibles, sport, touring et urban. Je décide de ne pas me brider aux 100ch de l’urban et de garder un mode touring raisonnable.

Ride on the street... Art!

Le moteur démarre, un son prononcé et agressif qui rugit quand on monte dans les tours avec la ligne d’origine... qu’est-ce que cela doit être avec une ligne complète modifiée !

Le temps de m’habituer à la position des cale-pieds, repérer le clignotant et me voilà lancer pour une balade de deux heures, rythmée par des pauses artistiques joliment commentées par Bénédicte de chez « Fresh Street Art Tour ».

On observe les rues de Vitry d’un autre regard, de superbes artistes ont étalé leur talent pendant de nombreuses semaines, sur des façades d’immeubles faisant jusqu’à 33 étages à l’aide d’un rouleau de peinture, quelques litres de couleurs et une nacelle prêtée non sans mal.

Ces superbes artistes tels que Kouka, C215, ou encore Vinci Vince ne sont pas rémunérés, leurs frais leurs sont uniquement remboursés. Le prix de telles œuvres pourraient pourtant dépasser des sommets ! Non pouvons les découvrir et les acheter lors d’expositions de tableau de street art.

Cheers !

La balade se termine, il est temps de rendre ces belles à deux roues de trinquer tous ensemble et de faire le point!

Les -

==> Au niveau du bouton de centrale clignotante, lorsque j’embraye, il m’est difficile de l’atteindre. Heureusement que ceux-ci s’éteignent automatiquement.

==> La chaleur du moteur qui tiens bien vos cuisses au chaud et vous incite à vous reculer au plus profond du siège, la canicule devait y être pour beaucoup également...

Le meilleur pour la fin

D’abord, ce bi-cylindre est pour moi un allier sécurité en ville, en cas de freinage d’urgence non seulement le Shifter Down est ultra pratique, mais si jamais votre cerveau n’a pas encore daigné freiner, le fait de couper les gaz vous provoque un frein moteur très rassurant.

Aussi, son centre de gravité est étonnamment bas pour un roadster ce qui permet une aisance dans les virages très agréable.

Grâce à ce poids et son énorme pneu arrière 240 pirelli diablo rosso ! Elle est d’une stabilité surprenante au ralenti, très pratique lors des multiples arrêts aux feux tricolores parisiens .

Pour conclure ce Diavel 1260 S est une superbe découverte, et je prendrai désormais plus de temps à observer les petits détails du décors, quand je suis passagère bien sûre ou bien sur cette belle diablesse au ralenti, qui sait !

Merci à l’équipe Ducati, aux photographes présents, à notre commentatrice artistique ainsi qu’aux camarades de balade qui ont rendu cette soirée des plus chaleureuses !

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